Les familles pionnières de Sept-Iles est en fait l’histoire des premières familles venues s’établir aux Sept-Iles entre 1860 et 1910. Avant les années 1840, le peuplement par les familles non-autochtones n’a pu vraiment se faire dans la baie de Sept-Iles, puisque la Compagnie de la Baie d’Hudson empêchait toute colonisation des lieux avant cette date, jouissant, en plus de son monopole de la traite des fourrures, d’une exclusivité de l’occupation des terres. La toute première famille pionnière, celle de Simon Ross, s’est établie en 1846, ce dernier était alors commis au poste de cette compagnie. C’est plutôt vers 1860, que l’on voit apparaître les premières familles allochtones dans cet espace qui allait devenir le village de Sept-Iles.
La Fondation d’un village tourné vers la mer fait état du contexte précolonial, du contexte favorable à l’établissement des premières familles, de la vie d’autrefois, de la diversité des origines et aussi des relations avec les Autochtones. La deuxième partie du livre Les familles pionnières de Sept-Iles est consacrée à la généalogie des familles, à partir des parents et parfois même des ancêtres. Elle précise aussi les lieux d’origine, les naissances, les décès et les mariages.
Pour le plaisir de nos lecteurs et de nos lectrices, des anecdotes complètent la généalogie et nous font remonter dans le temps où Sept-Iles était une petite bourgade peuplée de gens courageux et travailleurs, vivant des moments heureux, mais parfois aussi dramatiques.
180 pages de texte et de nombreuses photos d’époque